Duel arabo-persique
Ce n’est pas la force de l’Iran qui effraye. C’est sa faiblesse . La faiblesse pousse aux rodomontades et les provocations peuvent se révéler suicidaires. Lorsqu’il est arrivé au pouvoir en 1979, l’Ayatollah Khomeini a tenté d’apaiser – à son profit – l’ancestrale querelle entre Chiites et Sunnites...