Politique
Au lendemain de la disparition de l’A330 d’Air France entre Rio et Paris, une passagère qui, au dernier moment, n’avait pu embarquer, était interrogée à la télévision. Par décence, ses propos étaient empreints de tristesse mais ses yeux trahissaient la joie qu’elle éprouvait d’avoir échappé à la catastrophe.
Sans doute, en serait-il de même pour Tony Blair aujourd’hui s’il devait répondre à des questions sur la déconfiture du parti au nom duquel il a gouverné pendant 121 mois.
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